Le vent de la nuit sèche mes larmes et me ramène le sourire,
M'emmenant dans un monde ou de douceur on croit mourir,
M'embrassant dans ses tourbillons, caressant mes cheveux,
Tournant, tournant me tirant vers un lieu plus heureux,
Frôlant mon visage à la recherche d'un tendre baiser,
Perdu à jamais sur mes lèvres gercées...
Chut...