my.dream

La où personne ne m'attends...

Jeudi 29 mai 2008 à 8:46


Mmmm... Je suis fatiguée. Stressée. J'attends. Comment dire. Je me pose beaucoup de question. Sur ce que je dois faire. Un peu pommée sur les bords quoi... Je ne sais plus si l'ombre me satisfait. Mais je ne peux rien faire d'autre. Perdue, manque de confiance. Mais en même temps plutôt sereine. Mon jour viendra. J'attends. Le temps viendra. Il arrivera et ce jour la, je dirais tout. Un jour je pourrais tout dire. Mais en attendant, mon cœur reste silencieux et hermétique. Noir aussi. Je ne suis que l'ombre de moi même. Obligée de demander au petit frère de dormir avec moi. Je suis très bas quand même... Chaque jour je me demande quelle doit être ma conduite. Je me demande ce que je dois écrire, la bas, pour pouvoir recommencer, sans faire fuir personne. Alors je condamne cet endroit, la bas justement... Et j'attends, écoutant la musique et pleurant dans le noir. Tranquillement. Pas de confiance en moi. Pas de confiance en l'avenir. Mais confiance en autre chose. De beaucoup plus fort. Tellement de chose dire, que je tais. Mon jour viendra. Peut etre comme dans mes rêves secrets.
Attendons...

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Entre réalité et fiction

Mercredi 21 mai 2008 à 12:15

Dimanche 18 mai

J'avais commencé a faire mes devoirs. Et puis je suis partie. Partie de ma tete. J'ai allumé la chaine. Mis les écouteurs, et écouté cette musique a fond. Mes larmes ont commencées a couler. Elles coulent encore. J'ai pris ce livre. J'ai eu envie de le commencer. Je veux, j'ai besoin de le lire. Mais je sais ce qu'il va me faire. Je sais ce que me fait chacun des livres de cet auteur. Et puis je vais passer trois jours dessus, lire les quelques 630 pages. Et je vais rien faire d'autre pendant trois jours. A part lire. Je sais que je vais encore m'enfoncer en le lisant. Je n'arrive meme plus a lire mes auteurs préférés. Ces mots que j'aimais voir et comprendre. Je ne suis meme plus capable des les regarder en face, d'assimiler leur signification, leur force sur mon coeur. Fermée a tout. Au monde, aux autres, a tout en fait, cest bien ca... Cette nuit je me suis allongée pres de ma cousine. Et j'ai pleuré. Je crois qu'elle ne l'a pas entendu. A 2h du matin, j'ai pleuré, sans marrèter. Normalement je pleure pas quand il y a quelqun. Mais la... Je m'arrète plus. Comme une débile qui arrive pas a surmonter ses peurs. Oui j'ai peur. J'ai mal. Alors je lis des contes de fées. Ils sont tellement loin de la réalité eux, qu'ils ne me font pas mal. Ces putains de larmes qui s'arretent pas. Mon coeur qui se sert. Mon manque d'appétit puis mes crises de pseudos conneries de boulimie. La douleur dans les jambes. Cette envie de tout détruire, de vengeance, de haine, de mort, de destruction du monde entier. Ce besoin de tapper, de crier. Et puis quand meme se taire, rester passive. Parce que non. La haine c'est pas plus fort que l'amour. La haine c'est faible, tout en force. L'amour c'est tellement fort que ca tue. Ca détruit tout. C'est come un ouragan qui passe et qui avalent tout, sans poser de question. Et puis ca peut etre défouler a l'exterieur et terriblement calme a l'interieur, comme l'oeil d'un cyclone. L'amour est la plus grande arme qui existe, parce que cest la seule qui fait vivre ou mourir, qui a un tel pouvoir sur les etre. La haine ne fait pas vivre, elle fait survivre, mourir. L'amour a tous les pouvoir qui soit. Tout dépend de comment il se vit. Ma haine cotoie une multitude de sentiments qui la controle. Malgré tout ce qu'il y a au fond de moi. Malgré tout ca, je ne suis qu'une poussière, dans un coin. Parce que je controle ma haine. Parce que je la canalise, avec ce que je ressens, avec mes coups dans le mur, avec la musique dans les oreilles, avec les larmes, les lames. Ma haine se tait et se transforme en larmes.

Je ne suis que souvenirs, ne vous inquiétez plus. Les souvenirs peuvent survivre au temps.

Il était une fois un couple qui désesperait d'avoir un enfant. Finalement, leur souhait se réalisa. Tandis qu'elle attendait son enfant, La femme regardait parfois par la fenêtre le jardin voisin du sien, dans lequel poussait la délicieuse laitue Rapunzel. Mais ce jardin appartenait a une sorcière et personne n'osait s'y aventurer. Apres un certain temps, la femme ne pensait a rien d'autre qu'à cette appétissante laitue, tant et si bien qu'elle en perdit l'appétit. Son mari était si inquiet qu'il décida de se faufiler dans le jardin, à la tombée de la nuit, afin d'aller chercher un peu de laitue pour sa bien-aimée. Apres l'avoir dégustée, sa femme n'eut plus qu'une envie : en avoir encore. Alors de nouveau, son mari se risqua dans le jardin de la sorcière. Cette fois la, la sorcière le surprit.

- Comment oses tu voler ma Rapunzel!

Terrifié, le mari lui parla de l'appétit insatiable de sa feme lorsqu'il s'agissait de Rapunzel.

- Prend toute la laitue que tu veux, répondit la sorcière, mais en retour, promets moi de me donner ton enfant.

Le pauvre homme accepta.

Des la naissance de la petite fille, la sorcière vint la chercher. Elle la nomma Rapunzel. En grandissant, la fillette devenait si belle que la sorcière décida que personne ne verrait sa beauté. Des que la fillette eut 12 ans, la sorcière l'emprisonna dans une tour au plus profond de la foret. La tour n'avait pas de porte. Lorsque la sorcière venait rendre visite a la jeune fille, elle criait :

- Rapunzel, Rapunzel, Defais tes cheveux.

Alors la fillette laissait tomber sa longue tresse de cheveux par la fenêtre, et la sorcière grimpait jusqu'a la chambre.

Quelques années plus tard, un prince chevauchait dans la foret lorsqu'il entendit Rapunzel chanter pour se desennuyer. Charmé par sa voix, il se laissa guider jusqu'a la tour, mais fut incapable d'en trouver la porte. Le prince, envouté par la voix de la jeune fille, retourna pres de la tour tous les jours. Un jour, de sa cachette, il vit la sorcière crier :

- Rapunzel défait tes cheveux!

A ces mots, une tresse de cheveux se déroula jusqu'en bas de la tour. "Si c'est la facon d'entrer, se dit le prince, alors je ferais de même!" Des que la sorcière fut partie, le prince lanca :

- Rapunzel, Rapunzel, Defais tes cheveux.

Et il grimpa jusqu'a la fenêtre. Rapunzel eut un moment de frayeur lorsqu'il arriva, car elle n'avait encore jamais vu d'homme de sa vie. Mais le prince raconta a la belle comment il était tombé sous le charme de sa voix, puis il lui demanda de l'épouser. Mais Rapunzel n'avait aucun moyen de quitter la tour. Le prince lui promit de lui apporter un pelote de soie chaque fois qu'il viendrait la voir, afin qu'elle puisse se tisser une longue échelle. Caque soir, en secret, le prince rendit visite a Rapunzel? Un jour, cependant, la jeune fille ne put s'empêcehr de demander a la sorcière :

- Pourquoi etes vous tellement plus lourde que le prince?

- Comment as tu osé me tromper de la sorte? hurla la soricère et, dans sa fureur, elle coupa les cheveux de la jeune fille. A l'aide d'une formule magique, elle envoya ensuite Rapunzel dans un pays lointain. Puis elle noua la chevelure de la jeune fille a la fenêtre et attendit l'arrivée du prince. Lorsque ce dernier entra dans la chambre, elle s'écria :

- Ton petit rossignol est parti et tu ne le reverra plus jamais!

De désespoir, le prince se jete par la fenêtre de la tour et tomba sur un buisson d'aubépines, qui lui creva les yeux. Maintenant aveugle, comment allait il retrouver sa bien aimée? Pendant des mois, la prince erra a tâtons dans la foret, pleurant son amour eprdu. Un jou, il entendit quelq'un chanter une triste mélodie. La voix était si belle Qu'il la reconnu aussitôt et courut en sa direction en criant le nom de la jeune fille. Rapunzel se précipita dans les bras du prince. Des larmes de joie tombèrent sur les yeux du jeune homme qui, aussitôt, recouvra la vue. Rapunzel et le prince se marièrent et vecurent heureux jusqu'a la fin de leurs jours.

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Entre réalité et fiction

Samedi 17 mai 2008 à 23:43

Je sais pas pourquoi j'ai branché cette clé USB. Je regarde a l'interieur. Deux perso

nnes. Deux dates. Deux conversations. Deux histoires. Décembre 2006. Juillet 2007.

Mmmm j'ai la tete qui tourne. Je regarde les images de la télé. J'essaie de les rendre immobile, de stabiliser ma vue. mais je ne peux pas. Pas ce soir. Je n'y arrive pas. Mon avenir s'est assombrit ces dernière semaines. Mon moral n'est pas beaucoup mieux que d'habitude (pour donner un semblant de positif). Mes doigts courent parfois au hazard sur ce clavier, lorsque ma vue se trouble. J'ai envie de pleurer depuis des jours. Mais les larmes veulent pas sortir. A cause de ma mere. Du bac blanc. Du bac. De ces pu*in de logements. De mes études. De mon coeur. Et de tout le reste.

Samedi. Début d'apres midi. Le petit joue dehors. Comme tous les gamins, il est fasciné par ce qui l'entoure. Il regarde un squelette d'oiseau. Tout a coup, une tourterelle s'écrasse a coté de lui. En plein vol. Il appelle ses parents. La maman enleve le parasite accroché et gonflé de sang sur la tete de l'animal. La bebete a plume est sonnée, dans les vapes, dans les pommes. En train de mourir. les paumpières fermées par la puissance et la violence de l'infection. Alors un autre petit oiseau arrive. Ce petit oiseau prend la tourterelle dans ses bras, la fait rentrer dans son nid. Elle fait un petit nid dans une serviette éponge. Garde longuement l'oiseau dans ses bras. Puis elle le soigne. Pendant de longue minutes. Désinfecter. Ecarter les plumes. Désinfecter. Arracher les plumes endomagées sur cette douloureuse petite tete violette par l'infection. Elle la garde encore dans ses bras. Pour la rassurer. Puis elle la pose dans un coin tranquille dans son nid. Elle vient le voir souvent. Lui change l'eau. Le soir le petit animal blessé reste a l'abri. En liberté. Ils ont confiance l'un en l'autre. Il va peut etre mourrir. Elle n'a pas peur. Elle a fait le maximum. Alors qu'elle s'endort grace au somnifere, elle entend parfois les ailes bouger doucement. Le lendemain, il a l'air d'aller mieux. Apres presque un jour passer l'un avec l'autre, elle a lacher doucement son protegé dans la nature, qui avait commencé a rouvrir lentement ses yeux. Il s'est envolé vers un branche. Enfin libre, sans meme avoir été vraiment emprisonné auparavant.

Pourquoi raconter ca? Je ne sais pas. Juste parce qu'entre petit oiseau on s'entend bien. Et que parce que je l'ai guéris. On va dire...

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Entre réalité et fiction

Samedi 17 mai 2008 à 22:12

La tension monte. Regard au travers des rideaux. Papa et Maman sont la. Les amis au premier rang. Ils parlent gaiment. Un bruissement s'éleve du public. On sent que ca va commencer. On remonte dans les loges. Pantalon noir, corset rouge. Coup de crayon pour qu'on voit les yeux sur scene. Levres érotiquement rouges. Chapeau melon exagérement penché pour cacher une partie du regard. Six demoiselles vétues de la meme manière, une canne a la main. Il prend le micro, présente le projet. En place sur scene. La machine est lancée, plus question de retourner en arrière. Un regard de la meuneuse. Ecarter les coudes, rester dans le rythme, sourire en regardant le public caché dans le noir. C'est parti, le rideau s'ouvre. Nos pieds nus glissent et tappe le sol. La tete relevée, fredonnant cette chanson que nos deux star chantent. Sortir de scene. Mes pompes!! Ou ils ont foutu mes pompes!! Bon ben tant pis... Remonter dans les loges. Enfiler un jean. Enfin. Garder le haut rouge. Plus le temps. Descendre de scene. Se diriger vers deux jeunes hommes. Leur prendre la main et les emmener sur scene. Leur chanter une chanson d'amour, se planter dans le temps ("merde, merde, le micro il bouge!! Le micro il bouge!! Raa mais arrète de stresser!!! OULALA ou j'en suis dans les paroles?? Et merde, je me suis plantée!! Bon c'est reparti... zou!) Apres un beau craquage, se ratrapper. Etre zen, on sait pas pourquoi... Et faire le reste de la chanson presque impec'. Applaudissement. Oui oui, cette fois t'étais sur le devant de la scene. Regarder le plafond et se dire, "ah.. Si tu avais vu ca..." On sait pas trop a qui. Les jeunes hommes descendent " je voulais pas monter, ca fait deux jours que je seche et mon prof de francais est la" Oups désolée... Débarrasser la scene. Installer le groupe, batterie branchement, la totale, le temps d'un scetch. Clope (oui je chante.. M'enfin c'est pas grave. Oui oui faut que je monte dans les aigus apres, pas grave). Entracte. Le petit "Tu t'ai trompé mais c'est pas grave s'était bien hein :)" Papa Maman... Papi Mamie "ca va mamie, tu t'embete pas trop avec le rock?" "Non non c'est tres bien, tu es tres belle" "Marci Mamie :$" La prof de philo " dis donc, lui et toi, ca vous dirait de chanter au vernissage vendredi?" "Mmmm, Oui, je lui en parle et je vous dis ca demain en cours..." la directrice du théatre "ben alors, tu réussissais si bien a la répete, qu'est ce qui s'est passé??" "trou" "rooo c'est pas grave ca va etre encore mieux apres :)". Reprise. Danses manifiques. Puis c'est reparti. Le classique, le Disney, les aigus, le regard au public, les souvenirs qui remontent, les larmes qu'on ne voit pas, a l'interieur. L'envie de s'envoler loin sur ce tapis volant... Me serrer dans ses bras. Mon ami... Puis la Parisienne, vieille chanson trippante. Nous les coeurs, elle la star incontestée. Mimer la femme fatale sans complexe aimant le sexe. Mon dieu, moi??? Pffff Qu'est ce qu'ils m'ont pas fait faire... Et la dernière de la soirée. Vous voyez un grand brun bouclé avec une gratte, a sa droite un blond un peu boheme, et a sa gauche une tite brune avec plus de complexe que le criait la chanson précédente. Ben eux trois, ils chantaient Jeune et con de Saez pour finir le spectacle... Tout le monde sur scene, bouquets aux profs, larmes de l'une, massacre d'au clair de la lune pour l'autre, petits discours et grands rires...

Le pied total, apres une bourde qui a eu la classe de me rendre zen "ca peut plus etre pire." Meme si s'était pas parfait, j'ai adoré etre sur scene. Meme s'il manquait quelque chose, comme une fausse note dans l'aboutissement dans ce projet qui me tenait personnellement a coeur. On ne refait pas notre vie et on ne corrige pas nos erreurs et notre passivité mal placée...

Bon aller je rentre!! Hey!! Au fait, c'était trop bien! Merci de m'avoir fait monter sur scene. Je vous aime. Heu je vais rentrer, bac blanc de philo demain ^^...

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Entre réalité et fiction

Vendredi 16 mai 2008 à 16:52

Je suis désolée. J'ai pas réussi a me connecter a internet ici. Don j'ai pas pu mettre mes textes. Mes je continu a écrir. Je vais trouver une clé, et je vais essayer de mettre tout ca. Ca va faire beaucoup d'articles d'un coup. Enfin surtout de longs articles d'un coup. Sur des faits qui sont déja passé depuis une ou deux semaines. M'enfin, il faut bien que je mettes mes déguelis verbaux quelques part. Autant qu'ils poluent ma page. Au moins il y aura quelque chose dessus. dans moins d'une heures je chante. Encore. On s'en fout. Je sais. Mais bon. Je sors de bac blanc aussi... 2h de lettres et 3h d'espagnol hier. 4h d'histoire et 3h d'anglais cette aprem. Avec Philo ya une semaine et demi. Oral d'anglais renforcé lundi. Fatigue mentale. Oui oui, je le repete encore, on s'en fout. Bon je file... Encore. Je fuis, toujours. Bon week end a tous...

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Entre réalité et fiction

Mardi 13 mai 2008 à 13:39

J'ai écrit. A la maison. Sur mon pc. Demain je le rammene au bahut, et je mets tout ca.. Pour vous donnez des nouvelles. Un peu. Tellement de choses a dire que je tais. Tellement de choses a faire interdites. Tellement de choses que je veux envoyer balader. Ils ne comprennent pas. Certes je ne pense qu'a moi. Comme eux ne pensent qu'a eux. Comprendront ils un jour que tout ne vient pas d'eux. Que parfois il faut laisser en paix et pas chercher a comprendre. Parce qu'ils ne sont pas nombreux a pouvoir comprendre. Et certains d'entre eux, a cause de ma situation actuelle, n'ont plus de contact avec moi, ni de nouvelles. Pardonnez moi. Sans vous tout est dur. Mais ca ne se voit pas... Pardonnez moi si je m'enfonce encore, si des marques se dessinent sur mon corps, si mes réactions sont si troublantes. Pardonnez moi, je vous en prie. Je sombre. A demain. A bientot. Les heures sont comme des minutes. Qui est demain? Qui est aujourd'hui. Je suis perdue dans les recoins de moi même. Pardonnez moi. Souriez. Vivez. Criez. Soyez beau comme toujours. Je me suis perdue. Je vous ai perdu. Je n'ai pas le désir de me retrouver. Mais je possède secrètement celui de vous retrouver, vous. Mon monde. Vous me manquez mortellement.

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Entre réalité et fiction

Mardi 6 mai 2008 à 13:34



Ça monte, ça monte. De plus en plus de pression. Trop de travail. La responsabilité de tout ça est trop dure a porter maintenant... Fatiguée. Craquage, petage de câble. Angoisses. Terreurs nocturnes. Ras le bol.

Elle craque. Elle explose. En silence. Elle va se cacher pour pouvoir calmer sa colère.

Presque tous les jours. Presque chaque jour qui se lève, elle doit le faire.

Tout va bien. Tout va mieux. N'est ce pas?



Publié par my.dream

Entre réalité et fiction

Lundi 5 mai 2008 à 21:45

Petit a petit, ca devient une drogue.
Au fur et a mesure. De plus en plus.
Vous n'attendez plus, plus le pouvoir d'attendre.
Un besoin. D'abord de temps en temps.
Puis toutes les semaines. Sans patienter.
Puis presque tous les jours. Obsession.
Un jour c'est comme les cachets ou la bouffe.
Matin. Puis midi. Puis soir. Ca deviendra comme ca..
Un besoin, plus qu'une envie, Qu'un calmant.
Un besoin, presque vital.. Je sais que ca viendra.
Je le sens.. Ca viens de jour en jour.. Encore..
Toujours. Plus. Le jour viendra... Un jour...

Réalité ou ficton?

Publié par my.dream

Entre réalité et fiction

Lundi 5 mai 2008 à 21:18

On dit répete de merde, scene formidable. Esperons que l'adage soit vrai. Soit dit en passant, je vais mettre du vert sur scene. Oui ca porte malheur. Mais a moins qu'un incendit éclate dans le théatre ca ne peux pas etre pire... Deux nouvelles chansons a répeter, et cela ayant été appris la veille du "Grand Soir" je crois qu'on est mal. Une chanson en aigue au dernier moment, ca c'est le pied aussi. Mais tout va bien se passer. J'aime ceux qui sont avec moi sur scene. Papa Maman seront la dans le noir de la scene. Mais surtout quand je chante cette putain de chanson avec la gratte a coté, je pleure presque tellement je pense a lui.. jai failli méffondrer tout a l'heure. Ca va donner...

Réalité...

Publié par my.dream

Entre réalité et fiction

Mardi 29 avril 2008 à 21:58

Mauvais pressentiment. La pluie martelle le toit. Bon sang  va falloir que je rentre a la maison en plus. Dans ce grand lit gelé. Je me sens tellement seule. M'enfin c'est comme ca. Je m'allonge dans ce lit froid. Et je pense a tout ce qui va arriver dans les prochains mois.je remonte la couette a ma taille et la couverture au dessus de mes épaules. J'enfonce mon visage dans le nounours, comme s'il pouvait me tuer. Je sers mon antique doudou contre moi comme une enfant qui cherche ses reperes. Déja 4 mois que je les ai perdus. l'heure défile, le sommeil s'envole... J'ai peur...

Je vais rentrer...

J'adore cette musique. Je voudrais mourrir dessus...

Publié par my.dream

Entre réalité et fiction

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