my.dream

La où personne ne m'attends...

Mardi 15 avril 2008 à 14:55

Ils ont tué mon pere. Ils ont tué trois de leurs enfants, ils ont violé, détruit, volé, battu, usurpé. Ils on détruit ma mere, et une partie de moi par la meme occasion. Ils ont tué leur meilleur fils, ils ont tuer celui qui a décidé de s'en sortir. Ils avaient tous les deux une femme et deux enfant. Ils ne sont que des destructeurs, des sansues attirés par l'argent et le mal. On dis d'eux qu'ils font de la magie noire pour détruire ceux qui ne marchent pas dans leur combine. Certains ont sauté dans l'eau glaciale, d'autres se sont foutu une balle dans la tete, ou bien on jeté leur voiture sous un camion... Ce n'est pas une famille. C'est une machine destructrice. Je ne veux jamais en faire partie. Jamais... Je ne suis pas de ceux la. Je ne suis pas ce qu'ils sont, et je ne veux pas que l'ont m'assimile a eux...

Jamais. Je préférerais mourir moi aussi que les rejoindre...

Réalité ou fiction?

Publié par my.dream

Entre réalité et fiction

Lundi 14 avril 2008 à 23:42

200 ieme article... A dire toujours la meme chose, a pas s'améliorer. 200 articles pour vous dire que ca va pas... des millions de mots pour rabacher toujours la meme chose, a faire courir mes doigts sur le clavier A esperer qu'écrire ca fini par maider. Et puis un nouvel evenement, et c'est le retour en enfer. Encore un peu plus, alors qu'on avait pas remonté plus haut que la chute précédente... 200 papiers a dire que ca va pas, que ca va, que je suis en vie. A des inconnus... a des inconnus qui sont toujours la... J'en ai plusieurs en tete... Je sais que certains viennent régulièrement... Lire la tristesse d'une pauvre ado déprimée.. Juste déprimée pas vrai :)... 200 articles juste pour ca...

Mais merci de passer.. C'est peut etre ce qui me fait tenir, quand jy repense...

Publié par my.dream

Lundi 14 avril 2008 à 22:08

Mon corps a mal. Que se passe t'il... Je voudrais savoir ce qu'il y a. Ce qu'il se passe et ou... La douleur serpente des genoux jusqu'aux hanches, traversant lentement mon ventre, retournant dans mon dos, puis écrasant ma poitrine, m'arrachant les larmes, et fracassant ma tete. Je voudraisetre dans l'église, ou face a la mer. Dans l'église, je ne sens plus les douleurs, et a la mer, mon esprit sort de mon corps. Pourquoi personne n'est la. Pourquoi je suis seule face a ces touches d'ordinateur a vous raconter ca. Pourquoi ya personne pour faire sortir ces larmes accrochées a mes yeux. Pourquoi j'ai l'impression que je douleur va m'endormir. Pourquoi j'ai mal. Qui a mal. Pourquoi tant de questions sans réponse. Pourquoi... Pourquoi vous etes pas la... Pourquoi je suis obligée de mettre cette musique a fond pour plus entendre les bruits fracasser ma tete, pour moins entendre ces cris qui résonnent.

Pourquoi ca s'arrète pas...

Publié par my.dream

Lundi 14 avril 2008 à 18:20

Cette fois tout est fini... Cette fois l'espoir m'a quitté définitivement. Meme si je n'y croyais pas. Meme si ca ne servait a rien.. Au moins j'avais de l'espoir. Au moins je pouvais croire en quelque chose, meme pour rien. Enfin si pour quelque chose. Au moins ca me faisait vivre. Au moins j'avais un minimum d'espoir de m'en sortir un jour. Les larmes ne coulent meme pas. Je crois que c'est ca le plus grave. Je crois que c'est ce qui montre la gravité de la situation. Je crois que c'est ce qui montre a quel point nous sommes bas. Non. Juste ce pauvre non. Le oui me disais que j'étais encore la, un peu. Juste un peu. Mais c'est fini. Maintenant je ne suis plus rien. Maintenant je ne suis meme plus un vide qu'on attend pour se rassurer. Maintenant je suis partie. Maintenant je fuis. Maintenant je ne suis plus ce que j'étais. Maintenant il n'y a plus rien a faire. Maintenant je suis entièrement cassée. Maintenant je suis en pieces.

Pardon Antoine. Je sais plus de quoi je suis capable. Et je ne sais pas si t'embrasser ferais partie de mes capacités. Le temps, le temps passe, mais rien ne s'arrange. J'ai pourtant envie de t'embrasser. Tellement. Mais je ne veux pas te décevoir. Pardonne moi.

Tous pardonnez moi...

Publié par my.dream

Dimanche 13 avril 2008 à 23:00

Je m'étais dis que j'avais plein de choses a vous dire sur cette soirée. Que j'avais un max de sensations a écrire et a décrire. Mais en fait, ben c'était éphémere. Completement éphémere. Enfin pas sur le moment. Mais en y repensant j'ai pas grand chose a dire... Répetition pourrie. Attente interminable. Estomac qui gronde. Tremblement lors de le présentation de l'entreprise. Larme avant de monter. Et puis s'est passé, sans meme en profiter. Enfillage d'un verre de chou vert bien corsé. Et la remontage sur scene. Et puis j'ai chanté cette chanson, le regardant. Le guitariste. comme si je pouvais lui chanter une chanson d'amour a lui... Et puis les coeurs de La parisienne... Impro totale de Saez tous les quatre sur scene... Rentrer a la maison. Et puis se coucher, sans meme aller faire la fete apres comme prévu. Voila... Ma première scene en tant que chanteuse. Ben j'ai rien a raconter a part que j'avais tellement de fond de teint que j'avais l'impression d'etre super agée et de vouloir cacher mes rides...

La classe hein? Ca viendrat peut etre... Pardon, je suis désolée...

Publié par my.dream

Dimanche 13 avril 2008 à 22:33

J'ai marché, marché... Et puis je suis enfin arrivée... J'ai descendu les marches, et je me suis assise sur le rebord... Le dos appuyé contre le muret. En face de la mer. Il y avait du vent. J'ai rempli mes poumons de l'air salé venant du large. J'étais seule face a l'océan. Je regardais au loin et voyais l'ile. Le temps était clair malgré les nuages et le vent... Ce vent qui soulevait mes cheveux et passait a travers les vetements. Ce vent qui n'était pas froid et rentrait en moi comme une ame qui possede l'autre. Il me purifiait au fur et a mesure du temps que je passais entre ses bras.. Ce vent tourbionnant autour de moi encore et encore, dans une valse sans fin...

Et je voyais encore et toujours cette ile, avec le phare des baleines dominant la pointe et l'océan. En baissant les yeux, je voyais la marque des vagues sur le sable, la mer se retirait doucement, mais j'avais eu la chance d'arrivé a la marée haute... Je regardais l'écume et ses bulles rester sur le sol, s'éclater lentement et disparaitre sous une autre vague lechant, infatigable, le sable déja trempé. De petits oiseaux couraient sur cette partie de la plage, a une vitesse affolante, picorant le sol frénétiquement, a la recherche de petits crustacés. Soudain une ombre passe sur le sable, plongeant dans la mer. C'est un mouette qui survole les terres et l'océan... Je me souviens de cette ombre courrant sur le sol, puis sur l'eau, lever la tete et appercevoir cet oiseau blanc, que l'on voit parfois dans les terres, apres le labourage des champs.

J'ai fixé les vagues. Longtemps. Je me suis dis, j'aimerais revoir la Méditerrannée, depuis le temps... Retourner en Espagne. Voyager a l'étranger. Un peu. M'éloigner de tous ces gens qui me font du mal et qui ne le remarque meme pas. M'éloigner de ceux qui me font du mal involontairement. M'éloigner de tout. En regardant les vagues, j'ai vu un autre oiseau, noir cette fois. Il passait par dessus les ondes de l'eau, et puis soudain, il est passé dessous. Et j'ai scruté l'océan pendant plusieurs minutes, me demandant quand il remonterait enfin a la surface. J'ai attendu, regardant patiemment l'eau mouvante. Puis il a enfin réapparut.

J'allumais une cigarette. Je regardais a ma droite, et je dissernais les voiles de toutes les couleurs, rose, jaune, bleue, imaginant le pied que devaient prendre ces mecs. je descendais de les escaliers et marchais dans le sable. J'observais au loin les couples se baladant, les enfants galopant sur la plage et créant des dessins géants dans le sable. Je voyais ce manifique pointer a l'arret sur les petits oiseaux, je rigolais en le voyant courir les pates bien tendues, avec une élégance que les chiens possedent rarement.

J'allais m'asseoir. J'ai fermé les yeux. Une meche de cheveux s'amusait avec le vent et ma caressait les yeux. Mon coeur n'était plus. Je n'étais plus qu'un corps, mon ame, je crois, a fait abstraction du monde. Seul mon corps a ressenti tout ca. Lorsque je rouvrais les yeux, le soleil aveuglant m'obligeait a les refermer et a apprécier le paysage par mes autres sens. Le vent sur ma peau, l'odeur de la mer, le bruit des vagues...

Au bout d'une demie heure face a la mer, mes larmes se sont mises a couler. Encore et encore. Un torrent de larmes. A cause de la montée de stress et de la colère de la veille. A cause du soir que j'allais vivre. A cause de la solitude qui s'empare de moi. A cause de ma tristesse qui ne baisse pas. A cause des jours qui passent et qui fatiguent ma tete. A cause des meurtrissures que le monde nous inflige. A cause du ras le bol. A cause de la beauté de cette vue. A cause de notre envie de fuir...

Et puis on est repartis, je suis montée dans la voiture. On a roulé. Jusque la bas...
Jusqu'a la vie normale que je hais.

J'ai fini par la voir la mer, mais j'étais toute seule...

Publié par my.dream

Vendredi 11 avril 2008 à 23:36

Je me souviens de ce soir la, ou j'étais trempée dans la nuit, ou il m'a donné sa veste. Ce soir de juillet ou malgré les disputes nous étions un peu heureux. Ou sous la lune nous nous embrassions comme les deux adolescents que nous etions. Je me rappelle que nous ne faisions pas de reves, et que nous ne pensions pas reellement au futur. Je me souviens que demain n'avais pas d'importance. Et cest peut etre pour ca qu'on s'en ai remis si vite. Mais je me souviens encore de l'herbe fraiche sur mes epaules, de cette lune brillante, ou tu voyais la face du loup. Je n'ai pas de regrets, je n'ai plus de remords. Juste besoin de revoir cette lune en un doux soir de juillet. Non enf ait juste cette lune et une cigarette, allongée dans l'herbe dnas une belle nuit...

Publié par my.dream

Vendredi 11 avril 2008 à 21:23

Demain sera le grand jour. Bon ben voila, on et mal, on peut plus retourner en arrière. Quoi que je peux m'enfuire par les petites rue de ma ville et me cacher au parc de la marie derrière les grenadiers... Passer la nuit dehors, a regarder les étoiles briller. Acheter une bouteille au petit magasin, et boire martini jusqu'a ce que mes yeux pétillent. Regarder encore les étoiles, imaginer qu'il les regarde aussi. Fumer une cigarette. Puis encore une autre, et encore une autre. Jusqu'a ne plus avoir de voix. De toute facon on ne chantera pas. Allumer le portable deux minutes pour voir tous leurs messages. M'endormir, ici, ou la ou on ne me cherchera pas. Oui, dormir dans l'église, la ou le son résonne. La ou je me sens seule mais en sécurité...
La nuit porte conseil...

Publié par my.dream

Jeudi 10 avril 2008 à 22:52

Quand le torrent ne s'arrète plus, quand la source ne tarit pas, quand tout submerge et que l'eau salée tombe lentement du regard, la seule solution est de se replier, une poche de glace refroidissant le corps endolori... Nous avons enfin trouvé la solution...

Publié par my.dream

Elle et Moi

Jeudi 10 avril 2008 à 22:00

Cette chanson me rappelle tellement de choses, par les paroles, par sa musique, plusieurs évenements, différents et séparé les uns des autres, dans un espace de deux mois. Des moments tres difficiles que j'ai vécu avec les autres, ou parfois un peu seule aussi, surtout dans ma tete. Je vous mets la traduction, et la chanson... Si vous voulez que je vous l'envoie, n'hésitez pas...

J'ai entendu qu'il y avait un accord secret
Que David jouait et cela plaisait au Seigneur
Mais la musique te laisse tout à fait indifférente, n'est-ce pas
Ca fait un peu comme cela, la quarte, la quinte
L'accord mineur tombe et l'accord majeur s'élève
Le roi déchu compose l'hallelujah
  
Hallelujah, hallelujah, hallelujah, hallelujah...
Ta foi était forte mais tu avais besoin de preuves
Tu l'as vu se baignant sur la terrasse
Sa beauté et le clair de lune t'ont renversé
Elle t'a attaché sur sa chaise de cuisine
Elle a cassé ton trône et coupé tes cheveux
Et de tes lèvres elle a tiré hallelujah
  
Hallelujah, hallelujah, hallelujah, hallelujah...
  
Mon amour, je suis déjà venu ici
Je connais cette pièce et j'ai marché sur ce sol
Je vivais seul avant de te rencontrer
J'ai vu ton drapeau sur ton arche de marbre
Mais l'amour n'est pas une marche de victoire
C'est un hallelujah froid et brisé
   
Hallelujah, hallelujah, hallelujah, hallelujah...
 
Il fut un temps où tu me laissais savoir
Ce qui se passait vraiment dessous tout ça
Mais maintenant tu ne me montres plus jamais ça, n'est-ce pas
Mais souviens-toi du moment où je bougeais en toi
Et la sainte colombe aussi
Et chaque souffle que nous respirions était un hallelujah
   
Hallelujah, hallelujah, hallelujah, hallelujah...
   
Bien, il y a peut-être un dieu là-haut
Mais tout ce que j'ai appris de l'amour
Etait comment tuer quelqu'un qui t'as surpassé
Ce ne sont pas des pleurs que tu entends la nuit
Ce n'est pas quelqu'un qui a vu la lumière
C'est un hallelujah froid et brisé
   
Hallelujah, hallelujah, hallelujah, hallelujah... .

free music

Et elle continuait, encore et encre, a pleurer sans s'arrèter...

Publié par my.dream

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